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mardi 30 juin 2015

Qu’est-ce qu’une rupture d’anévrisme et comment la prévenir ?

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Anévrismes. Il se peut que vous en ayez déjà entendu parler voire même que vous ou l’un de vos proches en aient déjà souffert. Ce sont de petits vaisseaux sanguins qui, suite à un flux sanguin important, se dilatent dans notre cerveau et exercent une pression dangereuse. Il s’agit en fait d’un sujet sensible dont il faut tenir compte puisque le pourcentage de risque a un rapport direct avec nos habitudes de vie. Voulez-vous en savoir plus sur ce phénomène ? Lisez la suite.



1. Qu’est ce qu’une rupture d’anévrisme (ou anévrisme cérébral) ?

Son nom peut nous faire peur. Mais pas de panique, la plupart du temps, ce problème se résout grâce à une intervention. Le plus important est de connaître le sujet, de pouvoir identifier les symptômes et essayer d’avoir la vie la plus saine possible. Allons maintenant droit au but : un anévrisme cérébral arrive lorsque un vaisseau sanguin se remplit de sang dans notre cerveau et provoque une pression sur ce dernier.

Normalement, ils surviennent dans la partie basse du cerveau : cela est important à savoir. S’ils ne sont pas pris en charge à temps, cela peut entraîner de graves problèmes. Les risques sont les suivants : ou la pression engendre des maux irréversibles ou le vaisseau sanguin se met à saigner.

2. Mais quelles sont les causes d’un anévrisme cérébral ?

Existe-t-il vraiment des moyens pour l’éviter ? La réponse est « oui » et « non ». La plupart du temps, c’est une maladie congénitale, c’est-à-dire que ce petit vaisseau sanguin était déjà gonflé dans notre cerveau dès la naissance. L’autre probabilité est que nous souffrions d’un anévrisme dû à une autre maladie, tels que des problèmes aux reins, circulatoires, dans les veines ou les artères…

Les infections, la tension élevée, le fait d’avoir subi un coup dans la tête, avoir n’importe quel cancer… tout cela peut aussi entraîner ces petites accumulations dangereuses de sang dans notre cerveau, et affecter la bonne marche du flux sanguin.

3. Qui a le plus de risque de souffrir d’une rupture d’anévrisme ?

La population adulte en général, et les personnes entre 30 et 60 ans en particulier. Il faut également souligner que, selon des statistiques, les femmes ont un risque plus élevée de souffrir d’un anévrisme. Ces vaisseaux sanguins gonflés sont considérés comme sérieux dès lors qu’ils atteignent un diamètre de 15 mm dans notre cerveau étant donné qu’ils peuvent se mettre à saigner et ainsi provoquer une plus forte pression sur notre cerveau. Les vrais risques apparaissent alors. Lorsqu’ils éclatent et saignent à l’intérieur du cerveau, se produit un accident cérébrovasculaire hémorragique – une rupture d’anévrisme – souvent à l’origine d’autres anévrismes.

4. Quels sont les symptômes ?

Malheureusement, beaucoup d’anévrismes cérébraux ne montrent pas de symptômes jusqu’à ce qu’ils soient très grands ou qu’ils éclatent. S’ils sont petits, c’est-à-dire qu’ils mesurent moins de 10 mm, ils ne présentent aucune gêne. Mais s’ils sont plus grands et qu’ils grandissent encore plus, vous commencerez alors à sentir leurs effets.

Mais… Comment pouvoir savoir que nous avons un anévrisme qui peut être sur le point d’éclater ? Nous ressentons surtout une douleur au-dessus et derrière les yeux, une fragilité ou une paralysie d’un côté du visage, et nous avons les pupilles dilatées. Il faut également tenir compte des symptômes associés à un anévrisme qui a commencé à saigner : mal de tête subit et intense, nous nous levons le matin en voyant double, avec un mal de coeur, des vomissements, une douleur dans la nuque, des évanouissements… D’autres signes sont par exemple une paupière qui tombe, une plus grande sensibilité à la lumière, plus de difficultés à se concentrer, avoir des convulsions et la pire céphalée que nous n’ayons jamais senti. Ces symptômes sont si évidents qu’il faut consulter un médecin immédiatement pour les confirmer.

5. Comment diagnostique-t-on les ruptures d’anévrismes ?

Pour vérifier si nous souffrons d’un anévrisme, il faut faire une TDM (tomodensitométrie ou scanner) ou un IRM (imagerie par résonance magnétique). Beaucoup d’anévrismes sont détectés par hasard lorsque les patients passent des examens pour d’autres maladies.

6. Comment traite-t-on les anévrismes cérébraux ?

Tout d’abord, il faut souligner que chaque patient est unique et, selon ses antécédents personnels et la taille de son anévrisme, les médecins feront un choix adapté. En général, on opte pour deux techniques.

La première est la prothèse microvasculaire avec laquelle on réussit à stopper le flux sanguin de l’anévrisme. Le neurochirurgien accède au vaisseau sanguin qui alimente l’anévrisme dans le cerveau et y introduit un petit clip métallique qui ressemble à une agrafe, dans votre cou. Ainsi, l’anévrisme ne réapparait pas.

L’autre technique ne se fait pas dans le cerveau mais moyennant l’embolisation endovasculaire. Le médecin introduit un cathéter dans l’artère de l’aine, et le fait avancer jusqu’à l’anévrisme avec un fil de fer en platine. Cela le bloque et le guérit.

Aujourd’hui, les techniques sont très avancées, il ne faut donc pas avoir peur. La plupart du temps, les anévrismes se résolvent avec facilité et succès. Il faut juste être attentif aux symptômes.

Source : http://amelioretasante.com

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