Le lanceur d’alerte du CDC, le Dr William Thompson a publié une déclaration officielle confirmant que l’étude originale avait montré un lien entre le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et l’autisme, plus spécialement chez les enfants afro-américains, et que le CDC en avait caché les résultats.
Un éminent chercheur aux Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), le Dr William Thompson admet qu’il a joué un rôle clé en aidant à faire apparaître au grand jour la manipulation des données par le CDC. Cette fraude a consisté à dissimuler une incidence plus élevée de l’autisme due au vaccin ROR chez les garçons afro-américains.
Le lanceur d’alerte, le Dr William Thompson a avoué les faits après que le Dr Brian Hooker ait réclamé et obtenu, en vertu de la Loi sur la Liberté de l’Information (Freedom of Information Act ou FOIA), les données originales d’une étude portant sur l’autisme, avec l’aide du député américain Darrell Issa, président de la Chambre de surveillance et de la réforme du gouvernement. Les documents du CDC, ainsi que les discussions avec le lanceur d’alerte révèlent une manipulation généralisée des données scientifiques, ainsi qu’une pression (du haut vers le bas) sur le scientifique du CDC pour supprimer tout lien de causalité entre le vaccin ROR et le diagnostic ultérieur d’autisme, en particulier dans un groupe d’hommes afro-américains qui avaient reçu leur vaccin « à temps » en conformité avec le calendrier recommandé par le CDC.
Les documents reçus du CDC montrent qu’en 2003, on a découvert comme étant lié au vaccin ROR un risque d’autisme chez les garçons afro-américains de 340%. La découverte de ce risque a été cachée sous la pression de hauts fonctionnaires. Les chercheurs du CDC ont alors recalculé leurs résultats en omettant d’inclure une population donnée afin de pouvoir obtenir les résultats désirés. Mais même en recalculant ainsi les données après avoir omis cette population, un risque significatif d’autisme est encore retrouvé en lien avec le vaccin ROR. La mention d’un tel risque se retrouve par ailleurs également dans la présentation de l’étude originale faite par l’Institut de Médecine (IOM) (cf. pages 29 et 31 de cette présentation)
Le Dr William Thompson qui a travaillé pour l’Agence gouvernementale pendant plus d’une décennie a confirmé que :
« DEPUIS LES DÉBUTS DE 2003, LE CDC ÉTAIT AU COURANT DE LA RELATION QUI EXISTAIT ENTRE L’INCIDENCE DE L’AUTISME ET L’ÂGE AUQUEL LE PREMIER VACCIN ROR ÉTAIT ADMINISTRÉ CHEZ LES GARÇONS AFRO-AMÉRICAINS, MAIS A CHOISI DE DISSIMULER LA CHOSE. »
Il a fait remarquer :
« NOUS AVONS PERDU DIX ANNÉES DE RECHERCHE PARCE QUE LE CDC EST ACTUELLEMENT TELLEMENT PARALYSÉ PAR TOUT CE QUI TOUCHE À L’AUTISME. ILS NE FONT PAS CE QU’ILS DEVRAIENT FAIRE PARCE QU’ILS ONT PEUR DES CONCLUSIONS QUI POURRAIENT ÊTRE TIRÉES. »
Il prétend que ses supérieurs ont commis des actes criminels et a exprimé son profond regret quant à son rôle qui a contribué à masquer les données du CDC.
Cette augmentation du taux d’autisme régressif chez les Afro-Américains a bel et bien été trouvée. L’association Autisme Speaks (fondée en 2005 par les grands-parents d’un enfant autiste) signale que « la question du risque d’autisme régressif chez les enfants Afro-Américains a déjà été posée deux reprises ».
Il semble que la chose soit directement liée à la sortie récente des documents du CDC, ainsi qu’aux aveux du chercheur du CDC, le Dr William Thompson.
Les révélations du Dr Thompson remettent en question les neuf autres études citées par le CDC comme preuves permettant de nier un lien entre autisme et vaccins. Ces révélations ont également suscité une pétition (sur change.org) pour que l’étude frauduleuse soit retirée du journalPediatrics qui fut publié en 2004.
Une note de service de 2004 dans laquelle le Dr Thompson exprimait déjà au Dr Gerberding (chef du CDC à l’époque) ses inquiétudes sur cette étude problématique, a été récemment publiée. Cette étude a bouleversé les citoyens. Cela signifierait-il que le Dr Gerberding aurait commis un parjure au cours d’une audition au Congrès? Un examen plus approfondi sera nécessaire pour le savoir.
Lire ici la copie de la lettre obtenue grâce à la Loi sur la Liberté de l’Information (FOIA)
Quoi qu’il en soit, de nombreux citoyens qui considèrent la chose comme un méfait délibéré, à la charge des contribuables, ont entamé une campagne médiatique (Twitter etc.) pour informer le public de cette histoire et de ses conséquences. Les parents espèrent que l’Agence sera tenue responsable des dissimulations qui ont été effectuées. Ils réclament également une enquête pour que l’on puisse savoir si le Dr Coleen Boyle aurait aussi commis un parjure dans son témoignage devant le Congrès, quand elle avait été publiquement interrogée sur la question des liens possibles entre les vaccins et l’autisme.
Le Département Américain des Ressources de Santé et des Services de l’Administration a déjà reconnu que l’autisme pouvait être une conséquence indirecte de dommages vaccinaux comme ce fut documenté dans la mise à jour du tableau « Dommages vaccinaux » qui a fait suite au rapport de l’Institut de Médecine (IOM) de 2011. Ils ont rejeté l’autisme comme effet secondaire direct et spécifique de la vaccination ROR mais au vu des dernières révélations, les textes pourraient subir des modifications.
Le CDC a répondu à ces allégations en indiquant qu’ils reconnaissaient que cette étude avait montré une augmentation du risque d’autisme avec le ROR :
« LES RÉSULTATS DES RECHERCHES ONT RÉVÉLÉ QU’ENTRE 24 ET 36 MOIS, LA VACCINATION ÉTAIT LÉGÈREMENT PLUS FRÉQUENTE CHEZ LES ENFANTS ATTEINTS D’AUTISME, ET QUE CETTE ASSOCIATION ÉTAIT LA PLUS FORTE CHEZ LES ENFANTS DE 3 À 5 ANS. »
Ils ont rejeté la chose en avançant l’hypothèse que les parents dont les enfants sont autistes se sont précipités pour les faire vacciner avant de rentrer à l’école.
« LA CHOSE LA PLUS PROBABLE EST QUE TOUT RÉSULTE DES EXIGENCES DE VACCINATIONS PRÉSCOLAIRES »
Programme spécial d’éducation pour les enfants atteints d’autisme
Cela soulève des questions parce qu’il y a des exigences de vaccination pour tous les enfants qui fréquentent l’école publique et que les enfants qui disposent d’une exemption pour les vaccins ont déjà été exclus du compte (de l’étude réalisée).
Deux-bebes1
Le CDC indique également que :
« DES ÉTUDES COMPLÉMENTAIRES, AINSI QU’UN EXAMEN RIGOUREUX PLUS RÉCENT DE L’INSTITUT DE MÉDECINE ONT ÉTABLI QUE LE VACCIN ROR NE POUVAIT PAS AUGMENTER LE RISQUE D’AUTISME. »
Les études sur lesquelles le CDC se base pour affirmer qu’il n’y a aucun lien entre le vaccin ROR et l’autisme sont au nombre de 4. Le CDC reprend ces études sur son site. Un rapide coup d’œil à ces 4 études soulève plusieurs questions.
* La première étude montre un lien significatif (entre les vaccins et l’autisme)
* La seconde étude a été réalisée par l’infâme Dr Thorsen qui attend son extradition vers les Etats-Unis pour cause de fraude. Il est repris sur la liste du CDC comme l’homme le plus recherché – l’instance ayant remis tout son travail en question- et ceci sans parler des autres problèmes potentiels qui ont été soulevés au sujet de cette étude.
* La troisième étude est de nature préparatoire/préliminaire. Elle se base sur de très faibles échantillons : 28 enfants au total, ce qui est très peu.
* La dernière étude a porté sur 31 enfants pour l’échantillon de contrôle et s’est appuyée sur des entrevues avec les parents pour fournir des renseignements médicaux et comportementaux. Ensuite, ils ont constaté que plus de la moitié (50%) des enfants atteints d’autisme ont régressé peu de temps après la vaccination ROR ((dans un délai de moins de 5 mois après la vaccination), alors même qu’ils ont conclu qu’il n’y avait pas de connexion.
Cela pose la question de savoir pourquoi il n’y a que quatre études qui ont été utilisées pour appuyer les allégations que le ROR est un vaccin sûr. Une recherche rapide sur PubMed permet de tomber sur un document de recherche de 2012, revu par les pairs et qui a porté sur l’étude de plus de 500.000 enfants. Cette recherche a mis en évidence une augmentation significative des effets secondaires après la vaccination ROR: 22 fois plus de risques de méningite, 500% d’augmentation du risque de convulsions fébriles et autres effets secondaires majeurs, y compris des troubles de la coagulation.
La déclaration complète du CDC peut être lue ici.
La récente publication d’un autre document, relatif à une enquête du Ministère de la Justice en 2002, a montré que le Dr William Thompson était à ce point préoccupé par ce rapport qu’il a envisagé de retirer son nom du document. A la lumière de ses récentes déclarations et des documents publiés sur cette affaire, ne serait-on pas en droit de se demander si tous les avocats concernés n’auraient pas tenté d’empêcher la divulgation de cette information ?
L’information divulguée par NaturalNews peut être consultée ici.
Source: CNN